formation professionnelle:journalisme

Après les tests de présélection qui se sont déroulés le 17 mai passé, les candidats admissibles ont débuté le concours proprement dit depuis le 03 juin. Ils étaient1344 candidats dont  188 titulaires de la licence. Pour cette année, les inscriptions ont battu les records. A la sortie 211 candidats sont présélectionnés pour le niveau Bac et 13 pour le niveau Licence.

D’après les candidats les épreuves sont abordables. Ils ont commencé par la dissertation. Deux sujets au choix ont été proposés aux candidats. Le sujet 1 portait sur le dialogue (Que pensez-vous de l’affirmation selon laquelle le but du dialogue n’est pas seulement la paix mais aussi la vérité ?) alors que le deuxième que la plupart des candidats pour le niveau Bac avait choisi, portait sur la mondialisation à savoir : «  Partagez-vous le point de vue selon lequel la mondialisation est bénéfique pour l’Afrique ? ».

Le soir du même jour ils ont traité l’épreuve des questions d’actualités et de culture générale.

La synthèse de textes et l’épreuve d’Anglais sont prévues ce mercredi. Jeudi, dernier jour du concours, les candidats devront faire face à un jury pour l’entretien oral.

Toutefois parmi les candidats il y a des professionnels de l’information c'est-à-dire des journalistes qui n’ont pas fait une formation. Ainsi ils participent au concours pour avoir le diplôme en journalisme. Il faut  rappeler que le Cesti reste l’école de référence pour la formation en journalisme.

L’ESCOM est une jeune école (créée en août 2002). La mission de cette école est d'offrir des programmes de formation diplômante et non diplômante en Communication et en Management aux étudiants et aux entreprises africaines en utilisant un réseau d'universitaires et d'expert intervenants du monde de l'entreprise afin de réaliser l'adéquation formation emploi d'une part ; et de participer au renforcement des capacités des organisations, d'autre part.

Débouchés:Communication, journalisme, gestion.

Localisation
L’ESCOM se trouve à Dakar, la capitale du Sénégal.

Coordonnées:Ecole Supérieure de Communication et de Management villa 4433
Sicap Amitié III (Face VDN)
Tél: (00 221) 824 97 17 - (00 221) 537 33 48
BP 206 Dakar Fann - Sénégal
E-mail : escom@sunumail.com.

Le journalisme attire de plus en plus les grandes écoles de Dakar. L'université du Sahel offre désormais une formation de journalisme et de communication. Ouvert en septembre 1998, elle accueille de nos jours plus de 18 nationalités. Parmi le trois facultés qu'elle dispose , figure une des sciences sociales et de l'éducation. Danslequel se trouve le département de journalisme et cmmunication. La seule condition d'accès est d'être tutilaire du bacalaureat toute série. L'US a adopté le système licence, maîtrise doctorat( LMD).
Pout tout renseignement sur les modalité d'incription, contactez l'université du Sahel au

tel:(221) 860 99 75
Fax: (221) 860 99 75
Site:http://http://www.unis.sn

MEDIAS ET ENJEUX DES TIC EN AFRIQUE DE L’OUEST

« Nouvelles technologies, nouveau journalisme, renforcement de la gouvernance », c’est autour de ce triptyque que plus de 50 journalistes, bloggeurs et acteurs de la société civile de différents pays africains ont planché pendant trois jours à Dakar. Ce troisième atelier régional sur médias et les enjeux des Tic en Afrique de l’Ouest, organisé à Dakar par l’Institut Panos Afrique de l’ouest (Ipao) du 13 au 15 décembre dernier, a été un moment d’échange et de partage d’expériences sur diverses problématiques liées à la pratique du métier de journalisme mais surtout à l’usage des Tic, des blogs, technologies et applications du web 2.0

L’intérêt manifesté par les panélistes démontre l’importance des enjeux de ce secteur. La directrice de l’institut Panos, Diana Senghor le confirme en parlant de d’un autre monde virtuel qui est matérialisé, entre autres, par l’émergence des blogs et leurs démultiplications gigantesques à travers la toile Internet. Elle n’a pas manqué de rappeler la mission que s’est assignée l’Ong internationale qui est présente à Dakar depuis juillet 1997.

Le conseiller technique chargé de la communication du ministre de l’Information, Mamadou Kassé a abondé dans le même sens. Il a souligné les enjeux des interactions des Tic qui font qu’on est en train de vivre un « village planétaire » qui se démocratise en s’ouvrant à tous les espaces de liberté. « L’utilisation des Tic et en particulier du « blog » par les « bloggeurs » de toutes conditions, comme support de communication en ligne favorise aujourd’hui, l’émergence d’un journalisme dit « citoyen » qui se retrouve sur un terrain (celui de la production d’informations) qui était jusqu’ici celui du journaliste. Cette nouvelle pose la problématique de la gestion de l’information dans ses aspects législatifs et réglementaires », a-t-il affirmé. C’est, selon le journaliste Mamadou Kassé, l’occasion de rappeler la nécessité d’une réadaptation et d’une réactualisation des textes pour mieux repréciser le statut des journalistes et renforcer davantage leur profession face à l’usage que les citoyens font des TIC et les conséquences qui peuvent en découler » avance Mamadou kassé. Juste après l’ouverture de cet atelier, le thème : « journalisme à l’ère de la société de l’information » a été servi comme entrée en matière. Il a été développé par la directrice du Cesti, Eugénie Rokhaya Aw, l’éditeur de « Global Voices » en Namibie, Ndesanjo Macha. Une communication qui a permis de mesurer le bouleversement des traditions et des manières de traiter l’information avec l’émergence du support électronique et des outils du web 2.

L’information au service du développement

Une bonne frange des journalistes qui ont pris part à cette rencontre sont, en plus de leur profession, des bloggeurs. C’est ce qui pourrait justifier la richesse et la vivacité des interventions à la suite des communications sur « blogger en Afrique de l’Ouest : enjeux, acteurs, contenus, problèmes ». Judith Lenti chargé du suivi des projets Tic à Panos, le chargé des Tic et réseaux à Enda, Laye Kanté, le professeur de l’institut international des Tic et du journalisme (Ghana), Kwami Ahiabenu II et le journaliste du Matin, Patrick Djossou ont ainsi proposé un tour d’horizon sur la question qui a été complété par les contributions et interpellations des participants.

« Blogs, gouvernance et développement » a aussi été un thème central de cet atelier. Il a magnifié et montré de manière concrète comme les blogs et les outils du web 2, de manière générale, peuvent impulser un pays vers le développement à travers un partage d’expériences et de connaissances au niveau de tous les domaines de la vie active. Avec des exemples éloquents tirés de la conférence internationale sur le web 2 pour le développement rural tenue, en septembre dernier, Ibrahima Lissa Faye, votre serviteur et Noël Tadegnon ont exposé les bienfaits du projet « trouver une voix » qui est en train de tenir des prouesses au niveau des zones rurales Indiennes et d’autres activités qui peuvent doper les moteurs de toutes économies.

source: SUD QUOTIDIEN

D’une manière générale et simple, on peut définir le journalisme comme le métier qu’exercent les journalistes.
En jetant un regard objectif et professionnel sur la donne, vous saurez consentir que la définition ci-dessus soit incomplète. Alors, pour aller en profondeur, qu’est ce le journalisme ? Nous vous proposons ici de jeter un autre regard sur ce métier, vous les profanes. Pour les professionnels de la chose, soyez conforté, vous faites un métier noble.
Le journalisme est le traitement de l’information, depuis sa collecte jusqu’à sa diffusion. Il suppose que le journaliste cherche des informations susceptibles d’intéresser le public, les trient, les répertorient, les analysent, les interprètent au besoin pour une meilleure compréhension, les classent et les diffusent. Lesdites informations doivent être vraies. Un métier passionnant selon les professionnels et quelque fois aussi à risque. On signale que le journalisme en soi n’est pas dangereux mais plutôt la manière dont certains l’exercent. Ici, une information ne vaut pas une vie parce qu’un journaliste mort ne sert plus à grand-chose. Toutefois, tout est une question de choix. C’est un métier, nous dirons, vaste. Nous avons déjà les différents médias que sont la presse écrite, la radio, la télévision ; nous avons aussi les reporters, les présentateurs, les rédacteurs, les cameramen. Ces différentes tâches s’exercent de manière distincte mais l’ensemble constitue le journalisme. Nous irons tour à tour à la connaissance de ces diverses parties dans les articles à venir. Pour l’heure, vous qui êtes intéressé par le journalisme, notez que pour l’exercer du moins pour être professionnel, vous avez besoin d’un diplôme délivré par une école de journalisme. Cette dernière ne ressemble en rien à une école de communication. Ce sont des écoles que vous pouvez intégrer après le BAC, où si vous avez déjà une formation et que vous désirez changer d’orientation, vous trouverez une équivalence à votre diplôme dans ces écoles.
4ème pouvoir ou pas ? Avant de donner un élément de réponse à cette question qui a crée et qui crée toujours des polémiques même au sein de la profession, faisons un tour d’horizon des sous métiers du journalisme ceci pour vous en donner une idée plus concrète et vous aidez dans votre choix de carrière.

source :Nouvel Observateur

crée en décembre 1996, l'Institut Supérieur des Sciences de l'Information et de la Communication ( ISSIC) est un établissement privé d'enseignement supérieur reconnu par l'Etat. Il fait parti du Groupe Sud Communication.

L'administration de l'ISSIC est en pour parler avec le deuxieme université Sénégalaise, l'Université Gaston Berger de Saint Louis en vue de son rattachement pédagogique et scientifique.

l'enseignement dispensé concerne le journalisme, le communication les métiers de l'audiovisuels, les nouvelles technologies de l'information et de la communication.

Les étudiants sont originaires des pays d'Afrique de l'Ouest (Sénégal, Bénin, Burkina Faso, Cap Vert, Gambie, Côte d'Ivoire, Mali, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Mauritanie...) de l'Afrique Centrale (Burundi, Cameroune, République Central) et de L'océan Indien ( Comores).

Pour plus d'informations, consulter le site web:www.issic.sn

www.kkkl37.skyrock.com

www.groupe2cesti.skyrock.com

www.cestisport.foot-blog.com

www.cesti-tourisme.over.blog.fr

La prolifération des écoles de formation en  journalisme et en  communication à Dakar devient de plus en plus inquiétante. Phénomène de mode ou pas, les autorités  ne devraient pas tarder à réglementer le secteur vu que les promoteurs à la recherche du gain, font des nouveaux métiers de nouveaux marchés à conquérir. La qualité de la formation laisse à désirer. les critères rigoureuses  de séléction demeurent le cadet des soucis des promoteurs. les mensualités des pensionnaires seles préoccupent ces derniers. Aucune garantie de formation n'est éxigée.Etudiants désireux de se former en com et en journalisme, soyez attentif.

Le centre d'étude des sciences et techniques de l'information( cesti) de Dakar est une école à vocation régionale qui accueille chaque année des étudiants et stagiaires venant de l'afrique francophone. crée en 1965 grâce à l'appui de l'UNESCO, le cesti est le premier institut de l'Afrique de l'Ouest spécialisé en formation de journalisme. IL est placé sous la tutelle de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Aujourd'hui,  un programme de diversifitation des filières est mis en oeuvre afin de mieux préparer les futurs journalistes à etre plus competitif dans le marché de l'emploi. Les nouvelles filières concernent la communication dans toutes ses composantes et les médias.

L'acces au cesti  est sur concours d'entrée direct. Les tests ont lieu à Dakar et dans nombre de capitales francophones d'Afrique. Veuillez vous approcher des ministères de l'Information ou de la communication des pays respectifs pour plus d'infos sur les modalités de séléction.Ou contactez directement l'école à Dakar au (221)8246875/8249666 ou par e-mail: odio@cesti.refer.sn

le journalisme est devenu incontournable dans la bonne marche de la démocratie. Ainsi parler du journalisme c'est parler de la bonne gouvernabce politique, économique,etc.Gage de la liberté de la presse une telle approche nous a poussé a créer ce blog,pour amener les étudiants ,les éléves et même les communicateurs à mieux s'imprégner des principes de bases qui sous-tendent le metier de journaliste.

Dans  ce sillage nous allons faire une présentation de toutes les écoles et instistuts au sénégal.A travers ce blog l'étudiant ou l'élève pourra acceder aux informations concernant ces écoles précitées.

Dans ce blog nous allons organiser des forums de discussions, faire des commentaires,des chroniques et des reportages.Tout cela sera illustré par des supports tels que des photos, des archives, de la vidéo et du son si possible.